15 Feb 2025
Sur la scène battue et méritée de la Ligue 1, l'Olympique de Marseille (OM) se pavanait avec une assurance presque arrogante, trônant à la deuxième place avec **43 points**, bien loin des lumières du Paris Saint-Germain, qui brille de mille feux à **53 points**. Le rêve des Marseillais est clair : décrocher le précieux sésame pour la Ligue des Champions la saison prochaine, une ambition qui s’inscrit dans le grand dessein de trois ans orchestré par Pablo Longoria, celui qui, avec De Zerbi, a décidé de prendre le chemin du glamour.
Les cieux semblent cléments pour l'OM, qui affiche une cohésion impressionnante entre ses défenseurs centraux et ses milieux de terrain, une recette familière au cuisinier De Zerbi. En attaque, c'est une véritable danse de joueurs talentueux qui se déploie, mettant en avant des combinaisons dynamiques dignes des meilleurs ballets. Marseille ne fait pas que jouer au football ; il compose, il enchante.
Mais l'ombre rôde, et malgré cette pelouse tapie de promesses, des failles subsistent. Les contre-attaques adverses, rapides comme l’éclair, représentent un véritable casse-tête pour les Olympiens. Une vulnérabilité qui pourrait bien jouer le rôle du méchant dans le récit enchanteur d’une saison dorée.
Au cœur de cette orchestration, Pierre-Emile Höjbjerg est le chef d'orchestre. Avec **2 189 ballons touchés** et **1 740 passes réalisées**, il distribue le jeu tel un mécano de haute précision, rendant l’OM presque imparable dans son rythme, tout en rappelant que la balle est souvent à l'origine des cérémonies les plus grandioses.
Après une phase d'ajustement, l'équipe commence à se mouvoir avec grâce dans les principes de jeu de De Zerbi. La récente victoire contre Angers est un véritable feu d'artifice, illustrant la métamorphose des joueurs. Pour la première fois cette saison, De Zerbi, le mage sur le banc, a exprimé sa satisfaction, faisant danser les fans sur des rythmes victorieux.
La créativité est à son apogée, les options de jeu s’étoffent, laissant les adversaires dans le flou. Avec des adaptations ingénieuses face à la pression, les Marseillais font preuve d'ingéniosité, rendant leur jeu moins prévisible dans cette pâtisserie tactique où les boulettes se transforment en chefs-d'œuvre.
A domicile, l’OM est porté par une houle de plus de **66 000 supporters** prêts à faire vibrer le Stade Vélodrome contre Saint-Étienne. Ce soutien inconditionnel, véritable moteur, représente un avantage non négligeable pour l’équipe, transformant chaque match en une fête où les chants résonnent plus fort qu’un coup de sifflet.
De Zerbi, bien qu'applaudissant les progrès de ses troupes, n'oublie pas que le chemin est encore long. L'équipe est sur la voie de l'amélioration, cherchant à maîtriser son style flamboyant tout en travaillant zélément à réduire les brèches dans son édifice défensif, prouvant qu'en football, chaque jour est une nouvelle leçon à apprendre.
Points en Ligue 1 : 43 points après 21 matchs, soit 13 points de plus qu'à la même période la saison précédente.
Buts marqués : 45 buts en 21 matchs, avec une moyenne de **2,14 buts par match**.
Buts encaissés : 25 au total, avec une moyenne de **1,19 but par match**.
Leadership à la mi-temps : L'équipe a mené à la mi-temps dans **8 matchs sur 21**.
Écrit par
Supporter inconditionnel de l’Olympique de Marseille depuis toujours, je vis et respire football au rythme de l’OM. Suivi du mercato, analyses tactiques, décryptage des performances et réactions à chaud, je partage avec vous toute l’actualité du club phocéen avec passion et objectivité. Que ce soit au Vélodrome ou à travers les coulisses du club, je m’efforce de vous tenir informés des moindres mouvements qui font vibrer la cité olympienne. Ensemble, vivons la ferveur marseillaise !