Sandrine Rousseau au Stade Vélodrome : Un Match Éclair et une Controverse Éclatante

Sandrine Rousseau : Quand le Stade Vélodrome devient le théâtre d'une controverse

Ah, le Stade Vélodrome, temple du football et lieu de passions dévorantes ! Sandrine Rousseau, députée écologiste et candidate à la direction du parti Écologistes du 13e arrondissement de Paris, a fait une entrée remarquée dans cet antre en assistant au match de Ligue 1 entre l'Olympique de Marseille (OM) et l'AS Saint-Étienne, déclenchant une bombe médiatique qui aurait fait pâlir n'importe quel défenseur central.

Une présence inattendue au cœur de la ferveur

Au lieu de s’installer dans la tribune présidentielle, Rousseau a choisi de plonger dans le vif du sujet et de prendre place dans le Virage Sud, au côté des South Winners, véritables gladiateurs du soutien à l'OM. Cette décision, presque audacieuse, a été le fruit d'une rencontre fortuite dans une pizzeria marseillaise, comme quoi la gastronomie peut parfois ouvrir des portes inattendues !

Chants et convivialité : un moment de communion

Énergique et souriante, la députée a été chaleureusement accueillie par Rachid Zeroual, chef d’orchestre des South Winners. En véritable chef d’équipe, elle n’a pas hésité à participer à des chants énergiques, mais son sourire a rapidement causé un remous sur les réseaux sociaux. La photo postée avec Zeroual a fait écran à la vitalité du match, éveillant la controverse sur fond de séisme médiatique.

La tempête d'une photo

Le collectif Rouge Direct, tel un arbitre vigilant, a brandi le carton rouge à l’encontre de Rousseau pour avoir posé avec Zeroual, connu pour avoir minimisé les chants homophobes. En réaction, la députée a tenté de déminer la situation, affirmant qu'elle ignorait le palmarès controversé de son interlocuteur : "Je ne savais pas qui c'était. On m'a fait comprendre que c'était un honneur, car c'est une figure du Vélodrome." Cette défense, bien que louable, plonge son auteur dans un jeu de société où les règles semblent encore obscures.

Entre politique et sport : un grand écart maîtrisé

Avant de se fondre dans la foule, Rousseau a fait un tour d’horizon des acteurs locaux en rencontrant divers responsables et militants à Marseille, inscrivant son passage en prélude à sa campagne pour la direction du parti. Mieux encore, elle a eu l'occasion d'échanger avec Maho Bah-Villemagne, le premier boxeur transgenre reconnu par la Fédération française de boxe, ajoutant une touche de punch à son séjour.

Un match à sens unique

Sur le terrain, l'OM a, comme à son habitude, fait forte impression, enroulant l'AS Saint-Étienne dans une danse inéluctable avec un score final de 5-1. Pourtant, en quittant le stade après seulement 30 minutes, Rousseau a manqué un chant homophobe qui a été fustigé par de nombreux activistes. Une sortie qui laisse un goût amer dans une journée par ailleurs festive.

"Quel match ! Quelle journée !", s’est-elle exclamée sur ses réseaux sociaux, passant sous silence l’aspect plus sombre de l’événement, tout en célébrant la performance éclatante des joueurs de l’OM. Dans ce mélange d’applaudissements et de controverses, il est clair que Sandrine Rousseau sait comment s’inviter dans le grand cycle du football, même au risque d'éveiller des esprits chagrins.