19 Mar 2025
Dans le grand théâtre du Parc des Princes, lors du dernier chapitre du récit entre le Paris Saint-Germain (PSG) et l'Olympique de Marseille (OM), nous avons assisté à un véritable carnaval de la bêtise. Adrien Rabiot et sa mère, Véronique, ont été fustigés par des banderoles et des chants venimeux, des flèches tirées par une frange particulièrement virulente des supporters parisiens. Cette mise en scène a déclenché une tempête de colère et d'indignation fermement articulée par la mère et l’agent du milieu de terrain.
"Le PSG ne s'excuse pas. Le PSG ne s'excuse pas et le PSG n'a pas besoin de s'excuser." Ces mots, comme des coups de tonnerre, ont raisonné dans les rangs du club, alors que Véronique Rabiot déplorait l'absence d'une réaction ferme de la part des dirigeants parisiens face à ces comportements. Elle a rappelé que le match aurait dû être interrompu en raison des chants homophobes, un engagement qui aurait dû être respecté dans cette arène fugace de passion.
En contrepoint de cette cacophonie, l'Olympique de Marseille a joué la belle mélodie du soutien. L'OM a pesé de tout son poids pour dénoncer ces "attaques personnelles ignobles et inacceptables" et a décidé de s’associer à la plainte de la famille Rabiot. Une véritable symphonie d'élégance face à la tempête d’injures.
Véronique Rabiot a exprimé sa gratitude envers l’OM, louant leur attitude de "grande élégance". "Ça m'a fait chaud au cœur," a-t-elle déclaré, se remémorant ce moment où le président Longoria avait fait preuve de solidarité. Quel contraste avec le froid polaire laissé par le PSG, qui reste impassible devant ces folies qui empoisonnent l'univers du football !
Dans une volonté de faire entendre sa voix, Véronique Rabiot a annoncé son intention de porter plainte contre les auteurs de ces insultes déchaînées. Elle a également accusé certains décideurs du PSG d'avoir eu vent de ces banderoles à l'avance et d'avoir choisi de fermer les yeux. Une situation qui rappelle le dicton : "Quand le chat est parti, les souris dansent."
"Tout le monde a peur du PSG," a-t-elle lancé, révélant ainsi une atmosphère étouffante qui empêche toute forme de contestation. "Je veux que les gens bougent, je veux que ça bouge," a-t-elle martelé. Il apparaît, avec clarté, que le désir de voir un match sans injures ni scandales pourrait devenir une utopie si l'indifférence persiste.
Les événements tumultueux du dernier Classico mettent en lumière un problème majeur : la toxicity du comportement de certains supporters. L'élégance indéniable de l'OM se démarque, invitant tous les clubs à faire preuve de solidarité face à des révoltes qui n'ont pas leur place sur le terrain. Car au-delà du spectacle sportif, c'est l'humanité qui doit primer.
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Supporter inconditionnel de l’Olympique de Marseille depuis toujours, je vis et respire football au rythme de l’OM. Suivi du mercato, analyses tactiques, décryptage des performances et réactions à chaud, je partage avec vous toute l’actualité du club phocéen avec passion et objectivité. Que ce soit au Vélodrome ou à travers les coulisses du club, je m’efforce de vous tenir informés des moindres mouvements qui font vibrer la cité olympienne. Ensemble, vivons la ferveur marseillaise !
